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Capture d’écran 2020-09-30 à 16.38.29.

création 2021

CREATION  

Ecriture et mise en scène : Gérard MORDILLAT
Paroles : François MOREL

Musique : Hugues TABAR-NOUVAL

Création lumière : Fraçois CATONE

Costumes : Cyril FONTAINE

Assistante à la mise en scène : Odile CONSEIL

 

AVEC  

Lucile MENNELET Günther VANSEVEREN, Patrice VALOTA, Esther BASTENDORFF, Benjamin WANGERMEE, Camille DEMOURES et Hugues TABAR-NOUVAL

Compagnie Les Rêves Indociles, 
Coproduction Tangram Evreux, Ville de Vernon

REPRESENTATIONS

21- 22- 23 janvier 2021 - Le TANGRAM-scène nationale Evreux

30 janvier 2021-  Espace Philippe-Auguste, Vernon

2 février 2021-  Le TRIDENT - scène nationale Cherbourg en Cotentin

20 mars 2021 - L'IMAGINAIRE, Douchy les Mines

10, 11 novembre 2022, SCENE NATIONALE DE CHERBOURG

10 décembre 2022, LE TOURSKY, Marseille

14 au 26 février 2023 - THEATRE DU ROND POINT, Paris

À Raussel, une petite ville de l’est de la France, une usine, la Kos, « restructure » ! On licencie une partie du personnel et soudain, pour un jeune couple, la vie est bouleversée. Il s’appelle Rudi. Elle s’appelle Dallas. Ils ont un fils Kevin… Et beaucoup de camarades d’infortune.

Du roman de Gérard Mordillat à la série télé (Arte, France 2) puis à la scène, une même histoire ancrée dans la détresse d’aujourd’hui. De la violence sociale, de ses répercussions au creux de l’intime, au sein d’un couple, d’une équipe, d’une usine, d’une région. La mécanique économique est en marche. Impitoyable, même pour ceux qui ont cru au compromis, même pour ceux qui l’ont accepté.
        
Sur une scène nue, des comédiens, des musiciens -  les musiciens sont aussi acteurs- changent de rôles comme de costumes, tour à tour cadres, ouvriers ou patron. La musique, les mots et le chant s’entremêlent et font sens. Les parties dialoguées et chantées s’entendent et se répondent de même que les chansons (signées François Morel !) et les chœurs. Un théâtre musical. Un spectacle à fleur de rage et d’amertume, hurlée ou tue.

Comme dit Lorquin, l’un des personnages : « Mieux vaut être traumatisé que pas assez »…

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